lundi 15 avril 2024

Optez pour cette méthode pour mieux résoudre les conflits avec vos enfants

 

Si vous êtes parents, (père ou mère) ou simplement tuteur d’un enfant, il vous est sûrement arrivé de vous trouver devant une situation de conflit avec votre/vos enfants. Lorsque cela arrive, l’essentiel et de trouver un moyen de le résoudre. Et la bonne ou mauvaise nouvelle (c’est selon) c’est que vous devez trouver une solution.

Il est certain que face à ce genre de défi, chacun a sa solution propre. Parfois la méthode employée marche. Parfois, ce n’est pas le cas. Mais l’essentiel est que vous devez en sortir.

Plusieurs experts se sont penché sur la question des méthodes afin de proposer une solution permettant de résoudre le problème le problème tout en préservant la relation.



De toutes les méthodes qui existent, je voudrais vous partager les 4 principales.

Sans se préoccupant d’un ordre quelconque, ces méthodes se présentent comme suit :

-          La méthode autoritaire. Ici le parent s’érige en père Fouettard. Et l’enfant n’a pas d’espace.  Tout ce qu’il peut faire s’est se soumettre. Cette méthode peut emmener l’enfant à se refermer et à perdre confiance en lui-même.

-          La seconde la méthode dite permissive. Selon cette méthode, le parent s’efface totalement et laisse l’enfant prendre le dessus. En d’autres termes, l’enfant règne en maitre. Le risque de cette méthode est que l’enfant finit par dévier totalement. Et ce comportement s’exporte souvent hors de la maison. Et sont les parents que les autres verront à travers les agissements de l’enfant. D’aucuns diront qu’« Il est très mal élevé, cet enfant. Qui sont ses parents ? »

-          La troisième méthode est celle de la carotte et du bâton. En effet, ici, il y a 2 options. Le parent peut choisir de motiver l’enfant avec un gain afin de susciter son action. C’est la carotte. En revanche, il peut choisir la menace c’est-à-dire le bâton, afin de l’emmener l’obliger à s’exécuter. De toutes les façons, l’une ou l’autre de ces options demeure une conditionnalité.  Cela finit par pervertir la relation. Tant que quelque chose n’est pas fait, rassurez-vous que l’enfant ne fera pas d’effort.



-          La quatrième méthode est celle dite gagnant-gagnant ou la méthode sans perdant. Cette méthode suggère que le parent et l’enfant gagnent. On s’active pour montrer le bienfondé de l’action et l’intérêt de chacune des parties. Comme chacun a de l’intérêt, il pourra s’auto-motiver.

De ces quatre méthodes, disons que la quatrième est la plus recommandée. En tant que parent, notre rôle est de contribuer à la construction de nos enfants. Nous devons donc les orienter vers la méthode « gagnant-gagnant ».

Quoi qu’il en soit, sachez que votre rôle de parent est un chemin plein de défis. Il vous est donc requis une patience et un effort permanent d’apprentissage. Et surtout une aptitude à l’adaptation. Peu importe les défis, nous dévons avancer. Chaque enfant étant particulier et ne ressemblant à aucun autre, fussent-ils du même père et de la même mère, n’oubliez jamais de négocier s’il le faut. Mais attention, comme le prévient John F. Kennedy, « N’ayez pas peur de négocier. Mais ne négociez jamais par peur. »

OPZ, CEO Etincelle Plus

dimanche 27 août 2023

Voici les 5 QI financiers pour devenir financièrement intelligent(e) ?

 De nos jours, tout monde semble courir vers la richesse matérielle. Du moins le constat que l’on fait autour de nous est que la majorité semble s’intéresser à comment gagner de l’agent. Ou comment accumuler le maximum de richesses.

La plupart des auteurs qui se sont intéressés à la question de l’intelligence financière ont abordé le sujet de plusieurs manières. Chacun allant de sa stratégie. De Georges Clason à Robert Kiyosaki, en passant par Ricardo Kaniama, Thomas Stanley ou William Danko, nous en apprenons beaucoup sur la façon d’accroitre notre QI financier (quotient intellectuel financier).



De toutes ces stratégies, nous pensons que celle de Robert Kiyosaki semble être la plus complète et la plus holistique. Et c’est d’elle que nous voulons vous parler à travers cet écrit.

En effet, Robert Kiyosaki nous enseigne à travers ses ouvrages (13 ouvrages) consacrés à la richesse, l’investissement et l’éducation financière qu’il existe 5 QI financiers de base. Ces 5 QI combines constituent le fondement de notre intelligence financière.

En premier, le QI financier N˚ 1 est la capacité à gagner davantage d’argent. Pour y arriver, il nous faudra apprendre à nous connaitre et à connaitre l’environnement dans lequel nous nous trouvons. C’est ainsi que nous en apprendrons sur les opportunités de le faire. Quant à ces opportunités, il peut s’agir de notre force de travail, ou des investissements que nous pouvons réaliser pour accroitre nos ressources ou multiplier nos sources de revenus.

Le QI financier N˚ 2 est la capacité à protéger son argent. Très souvent, le plus dur n’est pas de gagner de l’argent. La tâche titanesque est de préserver ce que nous avons gagné. Et c’est cela le nœud gordien pour le citoyen lambda. Certain gagnent de l’argent certes. Mais au finish, ils ont l’impression que cet argent leur file entre les doigts sans qu’ils ne sachent trop comment. Malheureusement, ils sont souvent incapables de pallier cette acte insuffisance.



Le QI N˚3 est la capacité à gérer son argent. C’est donc la solution et la suite logique du QI N˚2. Pour protéger son argent, il faut apprendre à le gérer. Et des astuces, des méthodes et des stratégies existent pour cela. A nous d’y travailler.

Le QI N˚ 4 que Robert Kiyosaki nous enseigne est la capacité à faire fructifier son argent. C’est en cela que nous avons besoin de comprendre la fonction de l’économie et des opportunités d’investissements. Cela s’entend que nous devons mieux analyser les opportunités avant de nous y lancer. Même si nous devons prendre des risques, il nous faut apprendre à minimiser ces risques et profiter des bonnes opportunités.

Le dernier QI, et donc le N˚ 5, est la capacité à améliorer notre information financière. Tout simplement parce que nous sommes à l’ère de l’information. Et que l’information est abondante et change perpétuellement. Pour réussir donc à maitriser tous les QI financiers précédemment énumérés, nous n’avons pas d’autres choix que d’être à l’affut des informations précieuses afin d’être permanemment à jour de ce qui peut toucher à nos ressources et nos investissements pour pouvoir prendre les meilleures décisions quand il le faudra.

Pour conclure, nous disons que pour améliorer notre intelligence financière, il nous faut améliorer nos 5 QI financiers que sont :

-          Gagner davantage d’argent

-          Protéger notre argent

-          Gérer notre argent

-          Faire fructifier notre argent et

-          Améliorer notre information financière.

Cela passe par un diagnostic réaliste et profond de nous-même afin de savoir là où nous sommes compétents et là où nous le sommes moins. Ce, afin de nous donner les moyens de combler nos lacunes et d’œuvre à renforcer nos compétences.

Mais ce travail n’est pas ponctuel. Il doit être permanent et s’inscrire dans notre quotidien. A chacun de prendre la décision de devenir financièrement compétent. Et surtout de le rester. Pas pour un certain temps. Mais pour toute la vie.

OPZ, CEO Etincelle plus

lundi 9 janvier 2023

Ceci suffit à détecter le dysfonctionnement au sein d’une l’équipe

 A quel moment se rend-on compte qu’une équipe a des problèmes et qu’il faut agir ?  Autrement dit, à quel moment doit-on prendre conscience qu’une équipe a besoin de coaching ?

De nos jours, l’équipe est au cœur de notre quotidien. Que nous soyons en entreprise ou que nous nous intéressions au couple. Que nous soyons en famille ou au sein d’une administration, nous aurons toujours à faire à une équipe.

Il n’est donc pas étonnant que la question de la gestion de l’équipe s’inscrive de plus en plus au centre de nos préoccupations. D’ailleurs, cela a toujours été le cas depuis la nuit des temps. Vu que l’être humain est un être social. Et qu’il lui est quasi impossible de se passer des autres et de vivre seul. Sans l’aide de personne.

Que l’individu le veuille ou non, il sera emmené à vivre avec les autres. Il a donc intérêt à s’y préparer. Les entreprises, quant à elles, sont contraintes de trouver la meilleure formule pour favoriser cette vie en équipe. Etant donné que cette vie en équipe favorisera la performance et la cohésion sociale. Ce qui a forcément un impact sur la survie de l’entreprise.

Certes, il y a souvent des facteurs évidents qui interpellent au sein d’une équipe. C’est le cas des conflits répétés, la baisse de performance qui sont des aspects apparents.

Cependant, il faut se rendre à l’évidence que lorsque ces aspects apparaissent, il peut être déjà trop tard. Parce qu’en ce moment, le ver est déjà dans le fruit. Pour mieux anticiper, il est toujours mieux pour un leader de se poser deux questions fondamentales de base. Même lorsqu’aucun signe n’attire l’attention.

Au-delà des nombreuses considérations possibles, il existe tout de même deux questions de base nous permettant de prendre conscience qu’il y a un dysfonctionnement au sein d’une équipe et qu’il faut agir. Cela, même lorsqu’il n’existe aucun signe apparent.

Premièrement, le leader de l’équipe ou les membres doivent s’interroger à chaque fois la question suivante : Est-ce que nous faisons ce que nous devons faire ? Et cette question interrogera chacun des membres de l’équipe sur sa/ses responsabilités. Sachant que ce sont ces responsabilités individuelles qui favorise le succès de l’équipe dans son ensemble. Cette question interpelle donc sur les facteurs de succès.

Deuxièmement, la question est de savoir si la façon de faire les choses par cette équipe est la meilleure ? Ou alors s’il existe une autre meilleure façon de faire les choses ? Cela interroge sur le processus d’exécution des responsabilités l’équipe plus haut. Cette question permet donc de se focaliser sur les facteurs de succès.

A partir de ces 2 questions, le leader de l’équipe, ou les membres de l’équipe se rendront ainsi compte que quelque chose se passe au sein de leur équipe. Dès lors, ils pourront s’engager à agir pour résoudre le problème. Sinon, ils ne devront pas être surpris plus tard des blocages qui seront induits, si rien n’est fait.

Comme nous venons de le voir, deux questions simples nous permettent de nous rendre à l’évidence qu’une équipe fonctionne bien ou pas. Ce qui nous permettra de prendre des résolutions visant à y apporter des solutions. Cela est valable dans tous les cas quelle que soit la taille de l’équipe. Que cette équipe soit composée de 2 individus ou plus. L’essentiel est que notre intention au finish soit de favoriser le bon fonctionnement de cette équipe et la cohésion en son sein. 

OPZ, CEO Etincelle Plus

dimanche 1 janvier 2023

Voilà pourquoi il faut arrêter de se souhaiter des vœux en début d’année

Très souvent en début d’année, nous avons coutume de nous souhaiter des vœux. Avec certainement l’espoir que la nouvelle année soit meilleure pour nous que celle qui s’achève.

Le problème est que les années semblent se suivre et se ressembler. Si bien qu’à y voir de prêt, nos vœux ne diffèrent guère d’une année à l’autre. Parfois ces vœux deviennent même, ces vœux s’avèrent plus extravagants d’une année à l’autre.



Mais quel est le résultat au final? Rien du tout. Le cycle est le même. Mais les résultats sont quasi inexistants. Toutefois, la seule différence s’observe avec ceux qui en prennent réellement conscience et qui changent de paradigmes.

Plutôt que de mettre leur foi dans les vœux de plus en plus rocambolesques, ces personnes font un bilan de leur année écoulée. En toute objectivité, elles s’interrogent sur les évènements survenus au cours de l’année, et surtout leurs actions face à ces évènements.

Car elles savent que ce sont leurs réactions ou leurs inactions qui ont fait la différence et qui les ont menés au point où elles se trouvent à l’instant T. Alors, si elles veulent évoluer, si elles veulent faire changer les choses, elles savent qui leur faut de décider et AGIR.

En effet, de notre point de vue, passer le temps à se souhaiter des vœux creux n’a aucun impact sur notre vie. Ce que nous devons faire doit être ceci. Il faut se donner un petit temps pour évaluer son année qui s’achève pour tirer les leçons qui s’imposent.

Ensuite, il faut prendre des résolutions pour l’année à venir. Que voulons-nous pour notre vie ? Où voulons nous aller ? Pourquoi ? Car comme le dit l’adage, « lorsque vous découvrez votre pourquoi, le comment viendra de lui-même. »

Vous n’avez donc pas besoin de vous infliger la souffrance de chercher le « comment ». Chercher le « pourquoi. » Et ce pourquoi doit être conforme à votre filialité dans la vie. Si vous n’avez pas encore découvert votre finalité dans la vie, il n’est pas encore tard. Cherchez-la et vous la trouverez.

C’est cette finalité qui caractérisera chaque année de votre vie. Ainsi chaque année, vous saurez avec aisance avec quel aspect avancer dans la vie.

Ainsi, vous n’aurez point à compter sur des vœux pieux. Vous vous fixerez des objectifs annuels pour avancer et agirez en conséquence. S’il le faut, n’hésitez jamais à demander de l’aide. Ce pas un aveu de faiblesse, C’est plutôt de l’humilité.

J’espère que vous en prendrez conscience et rejoindrez au sommet les personnes éclairées qui avancent chaque jour à leur rythme vers leurs objectifs.

Si vous ne l’avez pas encore fait, ce n’est pas bien grave. Vous avez encore cette semaine pour agir. Si vous ne l’avez jamais fait, il n’y a pas de quoi fouetter un chat. Vous êtes unique en votre genre et n’êtes en compétition avec personne. Chaque chose arrive en son temps. Rappelez-vous : « Lorsque l’élève est prêt, le maitre arrive. »

Le plus important pour vous est de découvrir l’étape à laquelle vous vous trouvez réellement. Avez-vous déjà découvert votre finalité dans la vie? Etes-vous à l’étape de l’action ? Ou alors avez-vous atteint l’étape de travailler à consolider votre processus ?

Quoi qu’il en soit, la meilleure chose pour vous est d’agir maintenant. Pas demain. Pas lorsque vous aurez un peu de temps. Le seul moment dont vous avez le contrôle, est le moment présent.

Bonne année de réflexion et d’action continue pour 2023!

OPZ, CEO Etincelle Plus

jeudi 10 novembre 2022

Et si on se laissait enseigner par la pandémie ?

 S’il y a bien une crise qui aura fait parler d'elle, c'est celle de la pandémie du Covid 19. Non pas par sa violence, mais par son impact direct et indirect. Cette crise, en plus d'avoir été très médiatisée, a paralysé le monde entier et confiné les habitants de la planète entière comme jamais auparavant. Il est certain que beaucoup de choses pourraient nous intéresser dans cette analyse. Mais nous allons juste nous limiter aux perturbations que cette pandémie a occasionnées.



La pandémie a remis en cause les vieux schémas de travail que nous avions dans notre siècle. Avant la pandémie, beaucoup ne s'intéresser pas vraiment au travail virtuel. Pour la plupart, ce n’était pas encore le moment. Personne ne pensait que nous serions obligés de rester à la maison sans possibilité de sortir. De nous rendre au travail, de traverser les frontières et de jouir de notre liberté d'aller partout. De faire ce que nous voulons dans « un monde de liberté ».

Et pourtant. A cause de la crise, les gens se sont vus obligés d'organiser des rencontres, séminaires et formations en ligne. Le travail virtuel est devenu à une moment donné, la norme. Si bien que ce travail virtuel a commencé à se conjuguer avec le monde professionnel à l’ère de la pandémie.

Au regard de cette nouvelle donne, on peut s’interroger à savoir si la mission du travail et celle des relations humaines ont changé ? La réponse est bien entendu: non. Pas le moins du monde. Comme nous n'avions pas eu le choix, nous nous sommes adaptés. Forcés de le faire bien sûr. Mais nous l'avons fait.


Puis la fin du confinement est arrivée. Les frontières ont rouvert. Les entreprises ont rouvert. Mais qu'avons-nous constaté ? Même si certains ont tiré des leçons et ont tenté de changer leurs méthodes, la plupart a soufflé un peu. Puis, ils ont repris leurs vieilles habitudes. Nous nous comportons comme si la crise ne nous avait enseigné aucune leçon.

La question qui me vient à l'esprit est celle-ci: les choses redeviendront-elles comme avant ? Rien n'est moins sûr. Alors pourquoi n'en tenons-nous pas compte ? Par exemple, à défaut du travail virtuel à 100%, le travail hybride (50% présentiel et 50% présentiel), qu'en faisons-nous? N'est-il pas sage de commencer à l'intégrer dans nos habitudes?

L’une des leçons de cette pandémie et de ce qui s’en est suivi montre pourtant que le monde professionnel est en train de changer. S’il ne l’a pas déjà été. Il serait donc plus judicieux que ceux qui veulent survivre aux mutations commencent à intégrer le travail hybride comme la norme de ce siècle en cours. Sinon nous risquons de le regretter. A bon entendeur, salut !

OPZ, CEO Etincelle Plus

Optez pour cette méthode pour mieux résoudre les conflits avec vos enfants

  Si vous êtes parents, (père ou mère) ou simplement tuteur d’un enfant, il vous est s û rement arrivé de vous trouver devant une situation ...