(Cet article est en 2 parties. Nous vous proposons la première partie en ce moment. La seconde partie sera postée la semaine prochaine.)
Ces dernières années, on entend souvent plusieurs
personnes employer l’expression « intelligence
financière. » J’avoue qu’au début, lorsque personnellement j’entendais
cette expression, mon esprit me dirigeait toujours vers les personnes érudites
ayant étudié la finance ou l’économie « en profondeur. »
Quand je lisais des articles sur le sujet, ou que j’écoutais des « experts »
se prononcer sur la question, je ne retenais que des expressions « ronflantes »
pour lesquelles il m’était difficile de retenir l’essentiel. Et je crois que c’est
bien le cas pour beaucoup parmi vous qui me lisez en ce moment. C’est à croire que la compréhension de
ce domaine est l’apanage des « spécialistes » et de quelques privilégiés
qui ont fait des études dans le domaine des finances. Et dans une moindre
mesure, les universitaires et les banquiers expérimentés.
En mêmes temps, chose paradoxale, je réalisais en observant la vie de toutes ces personnes supposées expérimentées sur les questions des finances qu’elles souffraient aussi les mêmes problèmes que vous et moi en ce qui concerne les difficultés récurrentes en la matière. Notamment pour celles qui ont trait à la gestion convenable de nos finances. Je me suis donc dit que le problème dépassait les termes et les expressions techniques que l’on emploie à tort ou à raison.
La question essentielle qui me vient à l’esprit à ce
sujet est la suivante : n’avons-nous pas tous besoin de comprendre ces
notions de manière simple avant tout ? Surtout que chacun autant que nous
sommes, sommes obligés de coopérer avec l’argent. Que nous le voulions ou non.
Et donc avec les finances. Alors, développer son intelligence financière
devrait donc être un sujet d’intérêt pour tout le monde.
C’est pourquoi j’ai décidé de m’intéresser à la question
en me plongeant dans la lecture de quelques ouvrages. Entre autres, je me suis dirigé
vers la série d’ouvrages Père Riche, Père Pauvre de Robert T.
Kiyosaki, en passant par L’Homme le plus riche de Babylone de
Georges Clason, La chèvre de ma mère de Ricardo Kaniama, Réfléchissez et devenez Riche
de Napoléon Hill, sans oublier Le plus grand vendeur du monde de Og
Mandino (que je vous recommande tous et
bien plus encore). A ces ouvrages j’ai ajouté un nombre incalculable de vidéos
YouTube traitant du sujet et quelques séminaires et conférences.
Qu’ai-je retenu sur le sujet de cette aventure ? En
effet, beaucoup.
D’abord, en termes plus simple, j’ai retenu que l’intelligence financière est la connaissance du fonctionnement de l’argent et les astuces éprouvées pour mieux le comprendre et l’utiliser a notre service afin de bâtir notre fortune et devenir financièrement indépendant(e)s. Une chose à laquelle nous aspirons tous lorsque nous nous engageons vers la route du bonheur. D’autant plus que même si on entend souvent que l‘argent ne fait pas le bonheur, nous sommes au moins d’accord sur une chose : l’argent y contribue énormément. D’ailleurs, que pouvons nous faire sans argent aujourd’hui ? Très peu de choses.
Cependant, soyons, clairs, je ne prétends pas
que pour autant il faut chercher l’argent à tous les prix au point d’en être
l’esclave. Non du tout. Je suis plutôt pour ceux qui pensent qu’il faut le
chercher tout en restant digne. Et surtout travailler à le mettre à notre service. A ce
qu’il devienne notre esclave et travaille pour nous. Tout comme le stipulent Arkad
dans l’œuvre de Georges Clason. C’est d’ailleurs la substance de la philosophie
de Robert Kiyosaki qui estime que ceux qui l’ont compris, notamment les riches,
ne travaillent jamais pour l’argent. Au contraire, leur argent travaille pour eux.
Et ce, 24 heures sur 24. On ne peut trouver
meilleur esclave… (Fin de la 1ère partie de l’article. Merci de lire la
suite la semaine prochaine).
OZP
CEO Etincelle Plus
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