Il était une fois un petit garçon né dans une famille de
parents très modestes. Ceux-ci, ayant été frappés par les dures réalités de la
vie ont décidé de se limiter à 2 enfants. Parce qu’ils n’auraient pas eu les
moyens de s’occuper d’un 3e enfant. Surtout que les 2 premiers
constituaient déjà un poids pour eux.
Ainsi, par 2 fois, la mère été contrainte de se faire
avorter après des grossesses imprévues. Et comme il ne peut y avoir de 2 sans
3, un jour, la 3e grossesse survint.
Pour le père, il était évident qu’il n’y avait qu’une
seule solution : il fallait s’en débarrasser à nouveau. Il n’était pas
question d’en faire autrement. Mais contre toute attente, la mère eu comme une
lueur et un pressentiment : il fallait qu’elle garde cette grossesse.
Cette décision allait leur coûter la peau des fesses. Mais
sans trop savoir pourquoi, la mère avait décidé qu’il lui fallait garder la
grossesse. Même si l’idée n’enchantait pas trop le père. Mais au bout du
compte, celui-ci il finit par accepter la décision de son épouse.
Quelques mois plus tard, un petit garçon était accueilli
dans la famille. Comme il fallait s’y attendre, la venue de ce nouveau membre
donnait du fil à retordre aux parents qui devraient faire des pieds et des
mains pour se maintenir à flots.
Les années passèrent. Le petit Howard, (car c’était le
nom qu’on lui avait choisi) grandissait. Il commença à connaitre le chemin de l’école
comme les gamins de son âge. Et la situation de la famille Schultz ne s’améliorait
guère. Toutefois, le père et la mère firent de leur mieux pour assurer un repas
et un toit à leur progéniture.
Sa mère ajoutait souvent : « Tu seras le premier à la faculté. Tu
réussiras. Tu nous rendras tous fiers. » En effet, les paroles de sa
mère ont fait partie du quotidien du jeune Howard Schultz, qui n’est personne d’autre
que le PDG de Starbucks. Au moment où il a emprunté de l’argent à ses proches
pour acquérir Starbucks qui était en vente, elle ne dépassait pas 6 enseignes
et l’entreprise végétait.
Avec un esprit de combattant et à force de travail acharné,
Howard Schultz est passé au bout de 3 ans à 84 enseignes. Puis 6 ans plus tard,
Starbucks comptait un millier d’enseignes. Une entreprise qui pèse plus de
10 milliards de dollars avec plus de 17,000 enseignes à travers 50 pays dans le
monde.
Comme il ne manque jamais l’occasion de le signifier, les
paroles de la mère du PDG Howard Schultz ont contribué à renforcer son estime
et sa confiance en lui. Plus tard, il reconnaitra qu’il doit sa réussite à sa mère
qui a été la première à croire en lui. Il dira en substance : « Si vous dites aux autres qu’ils ont tout
pour réussir, ils vous prouveront que vous avez raison. »
La vie et l’expérience de Howard Schulltz n’est pas un
cas isolé. Des centaines, voire des milliers d’autres personnes à travers le
monde ont réussi parce que quelqu’un a cru en eux. Ou du moins, quelqu’un a su
leur montrer qu’ils avaient toutes les cartes en leur possession. Et qu’il leur
fallait juste foncer. Tout en se disant que ce ne sera jamais facile. Et c’est
d’ailleurs pour cela le sommet n’est pas saturé. Il y a toujours de la place et
il y en aura toujours pour ceux et celles qui n’abandonnent jamais.
OPZ
CEO
Etincelle Plus
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