samedi 21 août 2021

Comment éviter d’attiser la colère de votre homme ?

 Aujourd’hui, nous avons décidé de nous attaquer à un aspect d’un sujet sensible. Celui des relations dans le couple. Plus spécifiquement, nous nous adressons à nos tendres moitiés que sont les femmes. Comment vous comportez-vous lorsque votre homme est en colère parce que vous tentez de lui faire admettre son erreur ?

Loin de nous la prétention de nous ériger en spécialiste de la question des relations au sein du couple. Nous voulons juste susciter le débat en nous appuyant sur l’avis d’un éminent spécialiste. Il s’agit de John Gray, l’auteur du célèbre ouvrage Les hommes viennent de mars, les femmes viennent de venus (que nous vous recommandons vivement d’ailleurs. Si vous êtes intéressés, écrivez-nous et nous nous ferons le plaisir de vous envoyer la version numérique du bouquin. Mais revenons à notre sujet.)

Comme vous l’aurez remarqué, cet article s’adresse plus aux dames et aux jeunes filles. Mais il s’intéresse également aux hommes qui souhaitent, dans leur grande majorité, être compris par leurs tendres moitiés.


A travers ce bref article, nous voulons attirer l’attention de la gent féminine sur un aspect. Trop souvent dans les relations en couple, il arrive que la femme se rende compte que son homme s’enflamme pour telle ou telle chose.

Même s’il n’a pas raison, il n’est pas rare de constater qu’il se mette dans tous ces états. Pire encore, il refuse de reconnaitre son tort ou de s’excuser. Pour une femme cela est inadmissible. Normal. Nous sommes différents (homme /femme). Par contre, pour un homme, cela a tout à fait son sens.  Et vous le comprendrez à travers cet extrait de l’ouvrage de John Gray :

« L'homme peut être vivement fâché contre sa femme s'il a commis une erreur et qu'elle s'en montre irritée. Sa colère sera proportionnelle à l'importance de son erreur, faible pour une broutille et nettement plus violente pour une erreur grave. Les femmes se demandent parfois pourquoi l'homme est incapable de s'excuser quand il a commis une grave erreur. C'est simple, il a peur qu'elles ne la lui pardonnent pas. Il trouve trop pénible de reconnaître qu'il a échoué auprès de sa femme, en quelque sorte. Au lieu de s'excuser, il va souvent se fâcher contre elle parce qu'elle s'est offensée, et lui donner des points de pénalité. Quand un homme a une attitude négative, il faut le traiter comme un ouragan et se mettre à l'abri en attendant qu'il se calme. » John Gray, Les hommes viennent de mars, les femmes viennent de venus, P 241.

Alors chers dames, nous comprenez à présent ? Les raisons avancées peuvent vous paraitre non suffisantes pour que votre homme ne veuille pas s’excuser et reconnaisse sa faute.

Mais c’est lorsque vous restez dans votre âme de femme.

Chez l’homme, cela est plus que suffisant. Il n’est pas question qu’il perde la face devant vous.

Il a surtout besoin que vous le considériez comme le héros dont il s’est toujours considéré. Il a besoin que vous ayez confiance en lui quelle que soit la situation.

Alors admettez qu’il ne perde pas la face pour des broutilles ; pour « une simple erreur ». Et comme John Gray vous le recommande dans de telles conditions, « mettez-vous à l'abri en attendant qu'il se calme. »

Ensuite vous trouverez le cadre idéal et les mots bien choisis pour exprimer ce que vous ressentez.

Si vous y arrivez, croyez-moi, il vous respectera. Et vos relations s’en trouverons améliorées.

Parce que le plus important dans la relation, ce n’est pas savoir qui a raison après une dispute. C’est de continuer à s’aimer et à renforcer les relations quelle que soit la raison de la dispute.

C’est tout pour ce sujet à présent. Si cela vous a aidé, n’hésitez pas laisser vos commentaires. Surtout n’hésitez pas à partager votre expérience sur la question. Cela peut toujours aider quelqu’un d’autre.

OPZ

CEO Etincelle Plus

lundi 16 août 2021

Les 7 règles de la vie

Nous sommes tombé tout à fait par hasard sur les "7 règles de la vie" selon le site gabrieltellier.com et avons décidé de les soumettre à votre appréciation. 

Nous avons décidé d'aborder ce sujet trivial, mais tout aussi important. Parce qu'il nous a paru intéressant, dans la mesure où il présente des règles aussi simples que pratiques. 

Nous avons donc estimé que cela pourrait vous être bien utile. Alors voyons un peu comment l'auteur présente ces règles. 

Tout en haut de la liste, l'auteur nous recommande de "faire la paix avec notre passé" afin qu'il ne dérange pas notre présent. 

Combien sont-ils à s'accrocher désespérément à leur passé au point de passer à côté du présent? Quel que soit ce qu'à été votre passé, il reste le passé. S'il a été positif pour vous, c'est tant mieux. 

Mais vous devez vous réveiller parce qu'il est derrière vous désormais. S'il a été négatif et difficile, c'est une raison suffisante de faire votre deuil et de le laisser s'en aller tout simplement. 

Ensuite, "ce que les autres pensent de vous" peut certes être important (quelques fois), mais cela n'engage qu'eux. Vous ne pouvez pas les obliger à penser de telle manière ou de telle autre. Ils sont libres de penser ce qu'ils veulent. Mais vous n'avez pas à vous en préoccuper. Faites ce qui vous semble bien et en harmonie avec les valeurs de la société et vos principes arrimés à ces valeurs. Et vous serez en harmonie avec vous-même.

En troisième position, "le temps soigne presque tout". Il finit par tout réparer repanser. Quelle que soit la situation que vous traversez, dites vous que cela va passer. Votre état émotionnel aussi. C'est d'ailleurs la bonne nouvelle, heureusement.

"Personne n'est en charge de votre bonheur", sauf vous-même! C'est ça la subtilité du bonheur. Il n'est ni dans les choses matérielles, ni dans les personnes qui nous entourent ou dans celles que nous allons rencontrer. 



Il se trouve tout simplement en nous-mêmes. Alors il ne dépend que de nous de décider d'être heureux ou pas. Si nous le voulons, ni rien, ni personne ne peut nous en empêcher. 

Alors soyons heureux aujourd'hui et maintenant!

Une autre source de notre malheur est notre promptitude à nous comparer aux autres. L'auteur nous invite pourtant à "ne pas comparer notre vie à celles des autres". La plupart du temps, nous envions les succès des autres. Cependant, nous faisons fi de leurs malheurs. Ce qui est logique. 

Mais quel est le résultat d'une telle comparaison? Très souvent, il est négatif. D'autant plus qu'il écorne notre estime de nous-même et nous fait perdre confiance en nous. 

Pourtant, nous oublions que nous ne pouvons pas être comme les autres et être à leur niveau, parce que nous n'avons pas vécu les mêmes expériences. 

Nous n'avons pas traversé les mêmes fleuves et semé les mêmes graines. Nous ne pouvons donc pas récolter les mêmes fruits ou avoir les mêmes réactions. 

Puis il faut "arrêter de trop penser" et donc de trop se poser des questions. Pourquoi les choses sont ainsi et pas autrement? Pourquoi est-ce à moi que cela arrive? Pourquoi n'ai-je pas les réponses? Pourquoi la solution ne vient-elle pas? 

Pensez plutôt: "tout finit toujours par s'arranger". Et dès que vos pensées changent de perspective, les solutions arriveront d'elles-mêmes. Laisser le pourquoi à la Puissance Supérieur. Pensez au "Comment". 

Et enfin, "souriez" à la vie et la vie vous sourira. Voilà qui est tellement vrai! Le sourire transmet la tendresse, l'amour et l'envie de partager. 

Si vous garder le sourire en tout ce que vous faites, il n'y a pas de raison que vous ne contribuiez pas à rependre autour de vous de la positivité. 

Et ainsi, tout le monde souhaitera votre compagnie. N'attendez pas de résoudre tous vos problèmes avant de sourire et de rependre le sourire. Faites plutôt le contraire. Souriez avant toute chose et les problèmes vous fuiront naturellement. Cela marche toujours. Même avec les masques... 

OZP

CEO Etincelle Plus 

 

mercredi 4 août 2021

Vous avez dit coaching (2ème partie)

(Cet article est la suite d’un précédent article que nous avons proposé au numéro précédemment.)


Après avoir évoqué et tenté de répondre à certains aspects de la question en lien avec le coaching et le coach dans l'article précédent, je nous invite dans les lignes suivantes à nous pencher sur la place que cette activé et l'effet que ses adeptes pourraient avoir sur notre société.

Toute activité menée dans une communauté influence directement ou indirectement cette communauté. Pour ce qui est du coaching, cela ne saurait être autrement. D’autant plus que sa vocation est avant toute chose, d’être au service des membres de la communauté.

Et donc de la communauté elle-même. C’est en cela que Baptiste Rappin dans un article publié dans le Grand Livre du Coaching intitulé « Du coaching comme gestion et comptabilité de soi » considère le coaching comme une pratique managériale. Une action s’inscrivant dans le cadre des approches de gestion de l’humain au service de l’entreprise de nos jours.

De ce point de vue, le coaching embrasse plusieurs secteurs. C’est pourquoi on fera appel au coaching dans le sport, dans l’entreprise, dans les sciences humaines et sociales, dans les relations interpersonnelles et dans la relation intime de l’être avec lui-même. Et c’est ce qui le rend à la fois passionnant et délicat.

Autrement dit, son champ d’action est tellement vaste qu’il mérite d’être étudié en permanence. Il appartient également aux praticiens de lui reconnaitre cette envergure et de lui accorder une grande attention, au lieu de vouloir le réduire au seul aspect du développement personnel.

Notre monde est en pleine croissance et ce phénomène est ressenti à tous les niveaux. Le coaching tel qu’on le voit et le vit en ce moment subi également les effets de cette dynamique. Même son apparition dans les sociétés est marquée par des époques en fonction des cultures.

Pour ainsi dire, la plupart des écrits qui en parlent du coaching le situe entre les années 20 et 50 aux Etats Unies, entre les année 80 et 90 en Europe (France) et au milieu des années 2000 chez nous au Burkina Faso. 

Qu’à cela ne tienne, il apparait dans les sociétés (du moins on en prend plus conscience) lorsqu’elles traversent des bouleversements ou des crises. Soit identitaire et culturelles, ou alors simplement économiques. On se rappelle encore à la veille de le première guerre mondiale, de Grande Dépression, pour ne parler que celle-ci.



Au Burkina Faso, depuis la fin des années 90, on a senti de grands mouvements sociopolitiques qui ont secoué le pays. A cela on peut ajouter la crise économiques issue de la dévaluation. Et plus recensement, l’insurrection des 30 et 31 octobre 2014. Des phénomènes  qui ont contribué au changement de régime forcé.

Toute chose que d’autres spécialistes mettent sous le sceau du grand Printemps Arabe. Bref. Toujours est-il qu’à un moment donné, le Burkina Faso a ressenti le besoin de revoir son modèle de vie social. Si la société a besoin de revoir ses modèles et ses valeurs, alors, il est évident que cela doit commencer par l’être humain.

Ce n’est que par le changement qui s’opère en l’individu que la société changera. Voici là, de manière caricaturée la philosophie du coaching ramené dans sa dimension de développement personnel. 

C’est déjà un bon départ. Mais au-delà, le coaching est un métier « transversal » qui exige de ses praticiens qu’ils contribuent à renforcer ce caractère.

L’essentiel étant de ne point oublier que le développement de l’être doit être au cœur de l’activité du coaching comme le souligne Vincent Piazzini : « Pour moi, le cœur du coaching, c’est d’apprendre à cheminer en pleine conscience, à gagner en liberté. »

A la lumière de cette réflexion que nous venons de vous proposer à travers cet article, que faut-il retenir ?

Pour nous, il faut comprendre que le coaching est un métier sérieux et délicat qui devra être considéré comme tel. Il faut donc rassurer les sceptiques qu’il n’y a aucun mal à demander de l’aide quand on en a besoin. C'est d'ailleurs l'un des principes que Jack Canfield nous enseigne dans son livre succès "Le succès selon Jack" (que je nous invite à lire sans modération.): "Demandez, demandez et demandez!"

Acceptons également que quelqu’un peut vous aider sans toutefois être plus diplômé que vous; ou sans avoir un statut social au-dessus du vôtre. Pour mieux s’en convaincre, il n’y a qu’à regarder les coachs dans le sport.

Le coach qui amène l’athlète ou le joueur au sommet de sa carrière n’a nullement pas autant de gloire et de talents que ce dernier.

Mais il a la chance de se trouver de l’autre côté de la rive lui permettant d’avoir une large vue du fleuve dans lequel se débat son coaché ou son athlète.

Et il a les outils et a appris à s’en servir. Il est donc mieux placé pour faire entrevoir les bonnes questions au bon moment.

En outre, le coaching peut véritablement aider à changer les paradigmes et à aider le coaché à éviter de « dériver » et avoir un but déterminé et à se donner toutes les chances de réussir.

C’est d’ailleurs ce qui lui permettra d’avoir un meilleur discernement au point de distinguer le bon grain de l’ivraie.

OZP

CEO Etincelle Plus 

 

 

 

 

 

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